Vos Psychologues
ALINE PERONNET
Je m’appelle Aline, je suis Psychologue Clinicienne* et psychothérapeute, diplômée de l’Université de Nîmes et agréée par l’Agence Régionale de Santé (n°ADELI 049303068).
En parallèle de mon activité libérale, je travaille en tant que psychologue clinicienne au Centre Hospitalier de Digne les Bains, dans les Alpes de Haute Provence. Dans ce cadre, je suis amenée à réaliser des psychothérapies individuelles et animer des ateliers de groupe auprès d’adultes souffrant principalement d’addictions, mais également d’autres difficultés psychiques, notamment des troubles anxieux et dépressifs.
Enfin, Valentin et moi continuons à faire vivre et grandir le projet Psybernetic, ici, mais également sur les réseaux sociaux : instagram, facebook, et bientôt youtube.
Diplôme
Licence de Psychologie
Université de Nîmes
Diplôme
Master de Psychologie Clinique,
Psychopathologie en thérapie comportementale,
cognitive et émotionnelle
Université de Nîmes
Formation
Thérapie d’Acceptation
et d’Engagement (ACT)
Act On Life
Formation
Formation
Entretien Motivationnel
Formation
Thérapie d’Acceptation et d’Engagement (ACT)
CIPsy
Formation
Prise en charge des victimes de traumatisme et de leurs proches
Formation
EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing)
Institut français d’EMDR
Je m’intéresse particulièrement au jugement et à ses conséquences psychologiques, sur nous-même et sur les autres.
Rôle de la stigmatisation intériorisée et des stratégies de coping dans la détresse psychologique des
sortants de prison
Rôle du jugement moral et des ruminations de
colère dans la détresse psychologique de la
population générale
L’acceptation inconditionnelle : Accueillir chaque personne telle qu’elle est, sans jugement, peu importe ce qu’elle a pu faire dans son passé, subir, peu importe ce qui lui traverse l’esprit actuellement. Que vous sachiez que, quoi que vous me révéliez, mon regard sur vous ne changera jamais, mon accueil non plus, ma volonté d’être présente et soutenante non plus.
Être authentique : ne pas paraître quelqu’un d’autre, me montrer telle que je suis, une humaine faillible, comme tout autre être sur terre !
Être libre : que chacun ait la liberté de faire et dire ce qu’il veut, dans le respect de l’autre, bien entendu.
Apporter un autre regard : montrer qu’une autre voie est possible pour donner du sens à sa vie en « s’engageant pleinement » plutôt qu’en « luttant contre ».
Vous montrer que la clé est en vous, et vous aider à en prendre conscience.
Du premier intérêt à la naissance d'une passion
Je vais commencer par vous parler brièvement de mon enfance, car c’est là que commencent mes questionnements et ma future passion pour ce métier.
Si cette phrase vous fait déjà peur, je le comprends, sachez que je ne demande pas aux personnes que j’accompagne de tout lire et encore moins de tout connaître ! Je me suis simplement dit que, parfois, les personnes ont envie d’en savoir plus sur celles et ceux auxquels ils se livrent.
Mes parents ont d’abord été éducateurs, puis famille d’accueil. Ainsi, l’éducation, les comportements et plus largement l’humain, étaient au centre des préoccupations et des discussions familiales.
De ma plus petite enfance à mon adolescence, j’ai donc grandi avec des enfants qui, selon mon ressenti, n’avaient pas eu la même chance que moi.
Beaucoup de questionnements sont nés ici…
À mes 8 ans, mes parents nous ont proposé, à mes frères et moi, de faire l’école à la maison. Sans hésiter une seconde, on a tous dit oui avec enthousiasme ! J’ai donc commencé l’école en famille, qui a été une expérience formidable et très enrichissante.
À l’époque je n’ai pas passé d’examens, ni le brevet, ni le bac, puisque le but n’était pas de suivre le parcours scolaire. J’apprenais donc ce qui m’intéressait, ce qui pouvait m’être utile, ça allait des sciences à la cuisine, en passant par la photo !
L’humain, et je dirais aujourd’hui plutôt le vivant, a toujours été ma plus grande passion. Je rêvais que tous les êtres vivants soient considérés et traités équitablement.
Un moment de doute
J’ai pensé au métier de psychologue vers la fin de mon adolescence. Or, mon manque de confiance me disait que je ne serais pas capable de faire des études longues, d’écrire des mémoires, et encore moins d’être psychologue !
J’ai donc laissé tomber l’idée et cherché ce qui me correspondrait durant quelques années, en passant par différents emplois qui ne m’intéressaient pas, voire qui allaient à l’encontre de mes valeurs. Mais, sans BAC, on me faisait comprendre qu’il ne fallait pas espérer « mieux ».
Un tournant
Puis, à mes 22 ans, j’ai décidé de faire un voyage en Asie du sud-est. J’avais besoin de sortir de ma routine, d’aller voir ailleurs, de m’ouvrir au monde. Pour diverses raisons, j’avais décidé que je me devais de dépasser mes peurs durant ce voyage.
Ce voyage a duré 4 mois et a marqué un véritable tournant dans ma vie. Une prise de conscience que j’étais capable. Capable d’aller vers les gens, de m’organiser, de baragouiner quelques mots d’anglais (avec des inconnus !). Capable de partir des mois loin de tout ce que je connaissais et surtout capable d’en profiter pleinement.
Le (non)retour
Avant et à mon retour en France, je craignais de revenir dans ma petite vie routinière. Bien sûr, c’est effectivement ce qui m’est arrivé ! Ce n’est pas parce qu’un monde s’était ouvert en moi que tout avait changé à l’extérieur sans aucune action de ma part…
J’ai donc décidé qu’il était temps de reprendre les études, de donner du sens à la sphère de ma vie qui n’en avait pas encore !
Je me disais que je n’avais rien à perdre à tenter une nouvelle aventure, peu importe mes inquiétudes, puisque celle que je vivais ne me convenait plus, ne m’aidait plus à avancer comme je le souhaitais.
Un besoin de sens
Je voulais me sentir utile, faire profiter aux autres de la chance que j’avais eue, du mieux que je le pouvais.
J’étais déjà convaincue que le bonheur ne dépendait pas de ce qu’on avait, mais du regard que l’on portait dessus, de la conscience que l’on portait sur nous et sur ce qui nous entoure.
Je crois donc qu’il y a bien plus de bénéfices à montrer un autre regard, une autre voie possible, plutôt que s’épuiser à lutter éternellement contre ce qui ne nous convient pas.
“L’essence de la philosophie est qu’un homme devrait vivre de manière à ce que son bonheur dépende aussi peu que possible de causes extérieures.”
Épictète
Une reprise d'études
À 24 ans, j’ai donc décidé de passer le BAC pour entrer à la fac. Une année de reprise difficile, car pleine de changements, mais j’ai eu la chance, comme toujours d’être très bien entourée.
J’ai aussi un caractère assez déterminé, donc malgré mes inquiétudes, quand j’ai décidé quelque chose, je vais jusqu’au bout !
Après l’obtention du BAC, j’ai réalisé mes 5 années d’études à Nîmes, avec un master spécialisé dans les Thérapies Comportementales, Cognitives et Émotionnelles (TCCE).
Ces 5 années ont été bien remplies ! De travail, de merveilleuses rencontres, de prises de conscience, de soutien et d’amour.
Des expériences professionnelles
A la fin de mes études, j’ai été employée dans mon dernier lieu de stage juste avant de passer ma soutenance de master, autant dire que le sommeil avait disparu de ma vie, mais c’était pour la bonne cause !
Une très bonne et intense première expérience, pleine de belles rencontres, dans une association d’insertion professionnelle pour les personnes atteintes de handicap psychique : l’ADRH.
Je me suis ensuite formée à la thérapie ACT, et je travaille actuellement dans le service d’addictologie de l’hôpital de Digne-les-Bains.
Le projet Psybernetic
Enfin, le projet Psybernetic a débuté, été pensé, puis travaillé en 2021. Vous verriez nos premiers essais de logos… on partait de loin !
Et nous voici aujourd’hui, ravis d’avoir concrétisé cette idée qui grandira
avec vous.
Je vous invite à en savoir davantage sur ma pratique et mes prises en charge